16 juin 2009
2
16
/06
/juin
/2009
00:02
Trois semaines, 3 longues semaines d’absence avant de retrouver la douceur de la nuit argelésienne. Rien ne semble changé depuis mon départ. L’air est peut-être un peu plus parfumé. La température est très douce malgré la minuit passée. Je pose mon sac devant la porte et je vois que Juliette est toujours là. Juliette, c’est la rainette qui habite ici.
Elle ne se montre que le soir. Un peu plus loin sur le mur, il y a Arturo le gecko. Je ne vais pas vous dresser la liste de tous mes voisins, parmi lesquels Jeannot l’escargot, l’envahissante tribu de Rémi la fourmi, Renaud le crapaud, Gérard le lézard… Il est assez tard pour qu’il soit tôt. Dodo.
Le soleil brille, le ciel est bleu et il fait sensiblement plus chaud que lors de ma dernière venue. L’avenue du Tech a bien changé : les touristes se sont tous donné rendez vous pour une opération escargot devant moi… Je me traîne jusqu’au port à 2 à l’heure. Stressé comme un parisien à une heure de pointe, je pose mon sac dans le local et je tombe nez à nez avec Sandrine qui me présente Isabelle, la nouvelle recrue qui remplace Caro à l’accueil cette saison.
C’est donc elle qui aura la délicate mission de supporter l’humour parfois très fin des plongeurs , de renseigner les visiteurs étrangers dans toutes les langues comme si elle était monitrice de plongée polyglotte , de vendre le matériel de la boutique comme si elle avait tout testé et tout un tas d’autres activités excitantes dans la joie et la bonne humeur quotidienne du club. Chers visiteurs, ne soyez pas trop durs avec elle, au moins les premiers temps…
Dimanche après midi, une jeune plongeuse du club est venue essayer du matériel tout nouveau. D’année en année, les fabricants diversifient leur gamme de produits afin de satisfaire aux spécificités de toutes les catégories de personnes. Mais là, il a été très difficile de trouver les accessoires parfaitement adaptés et ajustés. Tout d’abord, la bouteille.
Puis, c’est le maître des lieux en personne qui s’est chargé de proposer une paire de palmes réglables.
La jeune plongeuse avait déjà la combinaison Détendeur et masque n’ont pas pu être essayés, il a fallu abréger la séance et échanger rapidement la bouteille pleine d’air contre une bouteille pleine de lait… Si elle consomme l’air comme elle descend le lait, elle ne pourra pas plonger avec François durant des heures à la recherche des nudibranches !
Qui dira qu’il n’y a pas une forte présence féminine dans ce club de plongée ?
Elle ne se montre que le soir. Un peu plus loin sur le mur, il y a Arturo le gecko. Je ne vais pas vous dresser la liste de tous mes voisins, parmi lesquels Jeannot l’escargot, l’envahissante tribu de Rémi la fourmi, Renaud le crapaud, Gérard le lézard… Il est assez tard pour qu’il soit tôt. Dodo.
Le soleil brille, le ciel est bleu et il fait sensiblement plus chaud que lors de ma dernière venue. L’avenue du Tech a bien changé : les touristes se sont tous donné rendez vous pour une opération escargot devant moi… Je me traîne jusqu’au port à 2 à l’heure. Stressé comme un parisien à une heure de pointe, je pose mon sac dans le local et je tombe nez à nez avec Sandrine qui me présente Isabelle, la nouvelle recrue qui remplace Caro à l’accueil cette saison.
C’est donc elle qui aura la délicate mission de supporter l’humour parfois très fin des plongeurs , de renseigner les visiteurs étrangers dans toutes les langues comme si elle était monitrice de plongée polyglotte , de vendre le matériel de la boutique comme si elle avait tout testé et tout un tas d’autres activités excitantes dans la joie et la bonne humeur quotidienne du club. Chers visiteurs, ne soyez pas trop durs avec elle, au moins les premiers temps…
Dimanche après midi, une jeune plongeuse du club est venue essayer du matériel tout nouveau. D’année en année, les fabricants diversifient leur gamme de produits afin de satisfaire aux spécificités de toutes les catégories de personnes. Mais là, il a été très difficile de trouver les accessoires parfaitement adaptés et ajustés. Tout d’abord, la bouteille.
Puis, c’est le maître des lieux en personne qui s’est chargé de proposer une paire de palmes réglables.
La jeune plongeuse avait déjà la combinaison Détendeur et masque n’ont pas pu être essayés, il a fallu abréger la séance et échanger rapidement la bouteille pleine d’air contre une bouteille pleine de lait… Si elle consomme l’air comme elle descend le lait, elle ne pourra pas plonger avec François durant des heures à la recherche des nudibranches !
Qui dira qu’il n’y a pas une forte présence féminine dans ce club de plongée ?