16 août 2007
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Ce bateau a coulé à la fin du 19è siècle à proximité de Port-Vendres par une nuit de brouillard. L’épave qui repose entre 3 et 15 m de fond peut être visitée par les plongeurs de tous niveaux.
Les membrures s’étalent, parallèles, le long de la pente douce. Poulpes et congres se cachent sous ces restes ensablés et encroûtés.
L’imposante chaudière, posée verticalement, est colonisée par les gorgones blanches sur sa partie la plus exposée.
À quelques mètres se trouve la plus grosse structure encore conservée de l’épave. La poupe, posée sur bâbord, permet de se représenter les dimensions du navire. Il n’y a plus d’hélice.
En remontant l’épave, on parvient à une arche rocheuse sous laquelle il faut passer puis obliquer à droite pour trouver les deux grosses ancres, en partie ensablées, dans 3 m d’eau.
Merci à Olga pour son concours lors de sa première visite d’épave.
Les membrures s’étalent, parallèles, le long de la pente douce. Poulpes et congres se cachent sous ces restes ensablés et encroûtés.
L’imposante chaudière, posée verticalement, est colonisée par les gorgones blanches sur sa partie la plus exposée.
À quelques mètres se trouve la plus grosse structure encore conservée de l’épave. La poupe, posée sur bâbord, permet de se représenter les dimensions du navire. Il n’y a plus d’hélice.
En remontant l’épave, on parvient à une arche rocheuse sous laquelle il faut passer puis obliquer à droite pour trouver les deux grosses ancres, en partie ensablées, dans 3 m d’eau.
Merci à Olga pour son concours lors de sa première visite d’épave.