9 décembre 2007
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On peut plonger des dizaines de fois chaque année au même endroit et pourtant ne jamais avoir tout vu, fort heureusement ! C’est ainsi que François, qui cherche toujours la petite bête, a rencontré à la moulade, de nuit, un Pleurobranchus testudinarius de 20 bons centimètres, ainsi nommé en raison des reliefs de son manteau faisant penser à ceux d’une carapace de tortue.
Cet animal, à la couleur très variable, proche parent de la tylodine (voir nudibranches ? (4)), se nourrirait d’ascidies.
Depuis, lorsque nous retournons à la moulade, nous avons convenu que si l’un de nous le retrouvait, il baliserait l’endroit avec son parachute et irait chercher l’autre. Mais la bête se cache…
Dénicher les nudibranches demande de la patience, de l’observation, et de la chance. Si vous êtes capables de rester plus d’une heure à 20 m max avec un 12 L et de remonter avec 50 bars, alors vous pouvez suivre François… ;-) Et vous aurez sans doute la chance d’en apercevoir de très originaux comme ces représentants du genre Janolus.
L’antiopelle (Janolus cristatus) est très facilement reconnaissable à ses grosses papilles à travers lesquelles on voit les prolongements foncés du système digestif.
L’animal se nourrirait de bryozoaires.
Merci à François pour ces belles images. D’autres viendront très bientôt pour continuer ce petit tour des nudibranches de Méditerranée.
Cet animal, à la couleur très variable, proche parent de la tylodine (voir nudibranches ? (4)), se nourrirait d’ascidies.
Depuis, lorsque nous retournons à la moulade, nous avons convenu que si l’un de nous le retrouvait, il baliserait l’endroit avec son parachute et irait chercher l’autre. Mais la bête se cache…
Dénicher les nudibranches demande de la patience, de l’observation, et de la chance. Si vous êtes capables de rester plus d’une heure à 20 m max avec un 12 L et de remonter avec 50 bars, alors vous pouvez suivre François… ;-) Et vous aurez sans doute la chance d’en apercevoir de très originaux comme ces représentants du genre Janolus.
L’antiopelle (Janolus cristatus) est très facilement reconnaissable à ses grosses papilles à travers lesquelles on voit les prolongements foncés du système digestif.
L’animal se nourrirait de bryozoaires.
Merci à François pour ces belles images. D’autres viendront très bientôt pour continuer ce petit tour des nudibranches de Méditerranée.