24 juillet 2007
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23:47
Depuis le début de saison, je n’avais eu qu’une seule occasion de descendre sur l’Astrée et la visibilité très réduite ne m’avait pas permis d’en rapporter d’images. Cette fois, enfin, nous avons pu visiter cette épave dans de bonnes conditions.
Alors que le bateau est toujours visible 30m plus haut, nous découvrons 6m plus bas la partie centrale du château.
Cette épave, elle aussi, conserve des lambeaux de filets arrachés dans lesquels se perdent inutilement des poissons imprudents.
Nous descendons sur le coté du château pour emprunter les coursives plongées dans une ambiance laiteuse fantomatique…
Nous progressons ainsi sur 2 faces du château jusqu’à l’angle bâbord avant où nous pouvons mesurer les dimensions de la cassure du cargo : toute la partie avant est coupée net transversalement.
Nous terminons le tour du château jusqu’au pont arrière en contrebas d’un petit escalier.
Là, à proximité de l’ouverture béante des cales, nous observons deux godives oranges intriquées en une étroite étreinte…
Nous remontons sur le sommet du château où les anthias en banc peuplent les structures écroulées
Un passage au-dessus de la large cavité marquant l’emplacement de la cheminée et nous retrouvons notre point de départ.
Après 18 minutes à une profondeur max de 40m, mes deux compagnons N2 m’indiquent qu’ils arrivent aux 80 bars de réserve convenue au départ. Il est temps de remonter lentement…
Alors que le bateau est toujours visible 30m plus haut, nous découvrons 6m plus bas la partie centrale du château.
Cette épave, elle aussi, conserve des lambeaux de filets arrachés dans lesquels se perdent inutilement des poissons imprudents.
Nous descendons sur le coté du château pour emprunter les coursives plongées dans une ambiance laiteuse fantomatique…
Nous progressons ainsi sur 2 faces du château jusqu’à l’angle bâbord avant où nous pouvons mesurer les dimensions de la cassure du cargo : toute la partie avant est coupée net transversalement.
Nous terminons le tour du château jusqu’au pont arrière en contrebas d’un petit escalier.
Là, à proximité de l’ouverture béante des cales, nous observons deux godives oranges intriquées en une étroite étreinte…
Nous remontons sur le sommet du château où les anthias en banc peuplent les structures écroulées
Un passage au-dessus de la large cavité marquant l’emplacement de la cheminée et nous retrouvons notre point de départ.
Après 18 minutes à une profondeur max de 40m, mes deux compagnons N2 m’indiquent qu’ils arrivent aux 80 bars de réserve convenue au départ. Il est temps de remonter lentement…