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  • : Le blog de Homo palmus
  • : Histoires et photos autour de mes plongées en Roussillon et ailleurs
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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 00:02

 

 

Togo. Nom officiel : République togolaise. Pays africain de 56 785 km². Le pays possède 1 700 km de frontière avec le Burkina Faso, le Ghana et le Bénin et 50 km de côtes donnant sur le Golfe de Guinée. L’altitude maximale est le mont Agou qui culmine à 986 m. (d’après Wikipedia)

Après une pizza de qualité très moyenne et une petite sieste sur le quai à l’abri de la capitainerie de Cavalaire, nous réembarquons pour une nouvelle découverte.
Le ciel est très couvert. Sous la surface, la lumière s’atténue rapidement et tout devient d’un bleu de plus en plus sombre. 45 m plus bas, je m’écarte du bout fixé à la proue pour avoir une vue de l’étrave.
L’ambiance est fantomatique. La pénombre laisse deviner des dimensions énormes. Les premiers halos de phares annoncent une coque de métal colonisée.
L’épave se dévoile à mesure que nous remontons vers le château. Une grosse ancre est posée sur tribord à la proue.

togo proue 1 

Sur les flancs de la coque ainsi que sur certaines structures, les gorgones se sont développées en bouquets denses.

Elles sont d’un rouge sombre seulement révélé un instant par la lumière d’un phare.
Par endroits, les gorgones sont si denses et grandes que l’allure des structures est modifiée. Evoluer dans cette atmosphère est encore plus prenant.
De chaque côté du château, les bossoirs encore dressés sont complètement colonisés, empaquetés par les gorgones autour desquelles tourne une nuée d’anthias.

togo bossoirs babordtogo bossoirs 

Au centre du château, la cheminée a laissé un trou béant encadré par des coursives très ajourées et très accessibles.

C’est à l’arrière du château que la mine a explosé, coulant ce navire de 76 m de long initialement et 10 m de large. Comme pour le Bananier, la partie arrière qui représente 1/5e de l’épave gît hors de notre portée…
Côtoyant les anthias, quelques barracudas réfléchissent la lumière du phare de Sylvain tandis que les dentis restent à l’écart.
Mais le temps passe trop vite et la profondeur déboussole l’ordi de Pierre-Franck : l’instrument semble n’avoir pas bien digéré les profils du jour. Alors que celui de Daphnée et le mien sont presque d’accord, celui de Pierre-Franck semble pris de panique. Début de lente remontée pour de longs paliers…
A nouveau, Daphnée se charge du parachute tandis que je regarde tourner autour de nous les gracieuses Pelagia noctiluca dont j’évite les brûlantes caresses…
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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 23:23

 

 

ESPINGOLE. n. f. Gros fusil, court, dont le canon était évasé et que l'on chargeait avec des chevrotines. Voir TROMBLON. (Dictionnaire de L'Académie Française, 8e édition)

 

La veille au soir, le vent soufflait fort et la mer était, paraît-il, démontée. Je ne sais pas car je suis arrivé tardivement à table. Sandrine et Daphnée dînent légèrement d’une soupe de poissons tandis que Sylvain me raconte comment Pierre-Franck, après un plat de calamars pas frais, leur a fait un remake de la séquence des Visiteurs dans la voiture, mais en couleur : durant toute la journée avec de nombreux arrêts techniques impératifs... Puis la pluie a commencé à tomber et dans la petite chambre du mobil-home, j’ai chassé le moustique. Quelques heures plus tard, nous voilà sur le port de Bormes-les-Mimosas. La météo est meilleure que la veille. Nous allons pouvoir en juger durant les 45 minutes de trajet pour gagner la baie de Cavalaire, espérant un coin plus abrité. Régulièrement, le bruit du bateau laisse penser que l’hélice ne tourne plus dans l’eau… Et tout ça pour voir quoi ? L’objectif de ce matin est l’Espingole. L’Ess-pingue-ôleu.

 

Avec un nom pareil, on s’attend à une barcasse de pêchou au petit moteur pétaradant, une ligne fixée au bastingage retenant dans l’eau fraîche une bouteille de rosé de Provence. Pas du tout ! L’Espingole était un contre-torpilleur ! Honnêtement, un nom comme ça pour un bâtiment de guerre à la pointe de la technologie de l’époque, ça devait faire rire l’ennemi !

Avec ses 56 m de long et seulement 6 m de large, ce bateau effilé avait 2 machines de 2 600 ch, énorme puissance pour l'époque paraît-il. L'armement, qui consistait en 1 canon de 65 mm, 6 de 47 mm et 2 torpilles modèle 1887 de 6,68 m de long, a été retiré dès le naufrage en 1903. Que reste t-il de ce navire ?

 

Etalés à 39 m sur un fond plat de sable, les vestiges de l’Espingole sont bien mal en point. La proue ressemble à une sorte de longue cage aux barreaux manquants.

espingole proue

espingole partie avant

 

Dans le prolongement suit ce qui reste d’une partie de la machinerie et peut-être d’une partie habitable.

espingole

espingole 2

 

Les plus grosses pièces sont les 2 chaudières.

espingole chaudiere

espingole chaudiere 1

espingole chaudiere 3

espingole chaudiere 4

espingole chaudiere 2

 

Sur le côté, des blocs de charbon parsèment le fond.

espingole charbon

 

La poupe est encore formée de quelques tronçons de membrures.

espingole poupe

espingole poupe 1

 

Ce qui devait être une partie de la barre est le seul objet toujours dressé.

espingole poupe barre

espingole poupe barre 1

 

Sur bâbord, une des deux hélices émerge du sable.

espingole helice babord

 

C’était une première immersion pour se mettre en appétit. Je rejoins mes collègues de palanquée pour les paliers. Tandis que l’une a été désignée volontaire d’office pour sortir le parachute, l’autre contemple les méduses qui nous croisent. Autant s’y habituer, ça sera comme ça durant de longues minutes 2 fois par jour !

 

espingole palier

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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 17:57

La météo sur les épaves du Roussillon est très changeante et bien malin est celui pouvant prédire avec justesse les conditions de plongée avant d’avoir les vestiges en vue. Depuis des années, malgré les tentatives de corrélation entre paramètres climatiques de surface et visi constatée au fond, rien n’y fait.  Les conditions sont à ce point changeantes que quelques minutes suffisent à transformer l’explo. Exemple en images.


 

Ce matin-là, la visi depuis la surface ne semble pas terrible. La descente commence et je cherche le mât, comme d’habitude. Il apparaît assez rapidement sur le côté, en dessous de nous.

bananier 190910 mat

Le temps de s’approcher de la flèche et les conditions changent : 15 m plus bas, la vue est soudainement dégagée sur tout le pont avant !

bananier 190910 cale avant

Nous nous dirigeons vers la proue. Au passage, je me retourne pour prendre le mât entouré d’une nuée de poissons.

bananier 190910 mat 1

Le canon est bien dégagé sur son support. Mes 2 collègues de palanquée prennent la pose pour un petit souvenir à côté de cette grosse pièce d’artillerie recouverte de lambeaux de filets.

bananier 190910 canon avant

bananier 190910 canon avant 2

Je constate alors que le mât disparaît dans la brume ! Nous remontons le pont côté bâbord et au passage entre le mât et la tourelle bâbord, j’observe cette brume qui s’élève du fond pour recouvrir le pont.

bananier 190910 tourelle avant babord

Alors que nous continuons vers l’arrière, la brume a recouvert le pont avant jusqu’au ras du dessus du château.

bananier 190910 chateau 1

La tourelle portant le double canon sera-t-elle engloutie elle aussi ? A notre arrivée, elle dépasse encore de cette nappe envahissante.

bananier 190910 tourelle double canon

bananier 190910 tourelle double canon 1

Nous poursuivons jusqu’au canon arrière qui émerge encore de la couche brouillasseuse.

bananier 190910 canon arriere

bananier 190910 canon arriere 1

bananier 190910 canon arriere 2

Il est temps de songer au retour vers le bout. Nous laissons cet ilot de ferraille encroûtée dans sa mer de brume.

bananier 190910 canon arriere 3

Nous rejoignons la tourelle portant le double canon qui apparaît plus dégagée qu’à l’aller.

bananier 190910 tourelle double canon 2

En quelques instants, le temps de 2 clichés et de parcourir quelques mètres, l’arrière du château se nettoie.

bananier 190910 chateau arriere

bananier 190910 citerne

La brume reflue, s’écoule de l’épave, libérant le château, les bossoirs et les coursives.

bananier 190910 bossoir

bananier 190910 coursive babord

A l’angle du château, la coursive inférieure est dégagée tandis que je réprime l’envie de jeter un œil à l’intérieur de la coursive supérieure. Au passage, je constate l’allure penchée de la structure qui me rappelle celle du Saumur quelques mois avant son écroulement…

bananier 190910 angle chateau babord

bananier 190910 angle chateau 1

La situation sur le pont avant s’améliore également, quoique peut-être plus lentement. La tourelle bâbord est presque libérée.

bananier 190910 tourelle avant babord 1

Alors que nous entamons la remontée, la visi, quoique moins belle qu’à notre arrivée,  s’étend à nouveau du mât jusqu’au canon de proue.

bananier 190910 cales et canon avant

Tout cela s’est déroulé en l’espace de 18 minutes. Les flux et reflux du brouillard ont été rapides. Comment prévoir de tels changements ? Mais dans le fond, est-ce si important ? Bien sûr, on souhaite toujours avoir la meilleure visi. Mais cet état changeant a modifié ma perception, tout au long de la plongée, de l’épave et des ambiances. Et ce n’est pas forcément un mal…

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 01:46

 

Il était une fois. Les contes commencent souvent comme ça. Et puis il y a une belle princesse, un charmant et courageux héros, un château magnifique où tout brille et scintille sous un ciel azur et, bien sûr, un affreux méchant quelconque dont le héros se débarrasse vite fait en cours d’histoire pour retrouver au plus vite sa princesse car il ne veut pas rater la finale du tournoi et que pour en profiter pleinement, elle doit, comme à chaque retour, lui apporter ses pantoufles avec un verre de banyuls et quelques olives.

 

C’est là que tout déraille…

 

L’atmosphère est glauque dans ce brouillard qui enveloppe le château ruiné dont les murs sont écroulés.

st lucien 180910 chateau

st lucien 180910 hublots

 

Nulle ambiance festive dans le silence où nagent les seuls habitants à livrée colorée.

st lucien 180910 chateau 1

 

Ironie de la situation : une baignoire, pleine de vase, entourée d’eau.

st lucien 180910 baignoire

 

Onagre ? Baliste ? Trébuchet ? Une forme indistincte se dessine loin devant.

st lucien 180910 dunette

 

Est-ce le reste d’une partie du mécanisme d’orientation du gouvernail ?

st lucien 180910 dunette 1

 

Depuis le safran, l’édifice n’est qu’une masse sombre dans cet univers gris-vert.

st lucien 180910 poupe

 

La paroi, fragile, perd ses rivets et bientôt se déboutonnera.

st lucien 180910 coque poupe

 

C’est dans ce lieu sans ciel bleu, sans scintillement, sans soleil, sans chaleur que Ramoucho a emmené sa belle !

st lucien 180910 sonia-ramoucho 1

 

Mais qu’allait-elle donc faire dans cette galère ? Pardon, cette épave de cargo. C’était sa première. Côté romantisme, il y a mieux que le Saint Lucien pour une promenade en amoureux. Allez savoir pourquoi, par quel mystère, elle a suffisamment aimé ça pour recommencer le lendemain.

Comme quoi, il ne faut pas prendre les contes au premier degré : marbres et dorures, palais des mille et une nuits, robes et bijoux ne sont que des images représentant l’aveuglement dans lequel se trouvent les âmes éperdues (narcosées), dans un autre monde (le pays des bisounours), toutes à leurs rêves et donc incapables de voir la réalité…

 

Mais comme le carrosse se changeant en citrouille, une fois à la surface, tel qu’en la fable, adieu banyuls, pantoufles et olives…  Pauvre Ramoucho !

 

Euh… En principe… Les contes se terminent par « ils vécurent heureux et eurent beaucoup de petits plongeurs »…

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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 23:58

 

Comme je l’avais annoncé (voir Diaporama Sommeil des Epaves pour les 20 ans de Port Argelès ), les 20 ans de Port Argelès ont été fêtés les 18 et 19 septembre.

En renard rusé observateur de la population touristique présente en cette arrière-saison, Sylvain a ressorti un vieux stock de produits pittoresques que je croyais oubliés à jamais dans les archives du club.

20 ans etal 1

J’avoue, j’étais très dubitatif quant à l’appétit des touristes pour ces genres d’objets. J’avais tort !

20 ans etal 2

20 ans etal 3

Laissant Sonia s’occuper de la vente, Ramoucho a fait un somme dans le club.

20 ans dodo

C’est à se demander ce qu’il peut bien faire pour être si fatigué. Est-ce la plongée du matin qui a été trop éprouvante ?

Suite à la plongée de l’après-midi, nous nous sommes dépêchés de nous changer pour ne pas manquer le début du diaporama. Enfin, le risque était ailleurs. Suivant un horaire très catalan et une organisation technique très locale, la présentation a commencé bien plus tard. La faute à qui ? Certainement pas à Patrice Strazzera qui était prêt à l’heure.

20 ans diaporama

La manifestation a été victime de son succès. Le public a été largement plus nombreux que prévu. Il a fallu ouvrir la baie vitrée de la salle et ajouter des chaises à l’extérieur ! Et c’est seulement en cours de présentation que le micro est arrivé.

20 ans diaporama 0

Le diaporama a duré une heure, Patrice nous emmenant d’épaves bien conservées dans des eaux douces et froides à d’autres locales que nous connaissons bien. Le discours très pédagogique, les références historiques et les anecdotes ont été de nature à intéresser plongeurs et non plongeurs, amateurs d’histoire et d’histoires.

20 ans diaporama 1

A la fin de la présentation, l’auteur s’est livré à une séance de dédicaces.

20 ans dedicace 2

20 ans dedicace 3

La séance s’est poursuivie au club où une des fans, la Judokate Palmée, spécialement descendue de sa lointaine contrée très au nord-est, a pu cette fois en personne obtenir une dédicace.

20 ans dedicace 4

 

Une fois encore, il faut remercier Patrice Strazzera pour sa gentillesse et son plaisir évident de partager ses histoires du Sommeil des Epaves.

 

Et… Désolé Patrice, mais il faudra remettre ça !

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 23:38

Le Saumur : le long bâtiment. La plus longue épave de la Côte Vermeille a pris un gros coup de vieux l’an dernier lors de l’effondrement de l’intérieur du château et la chute de la cloison de la salle de bain.

 

Le bout de balisage conduit encore sur tribord à proximité de la salle de bain. La cloison repose sur la baignoire et le lavabo est toujours posé sur le sol contre un petit radiateur encore debout.

180710 saumur salle de bain

 

Le trou béant du château n’a plus qu’un contour très partiel. Il ne reste presque plus rien du cerclage de la cheminée. Les parois qui résistent sont totalement exposées et je doute qu’elles subsistent encore longtemps.

180710 saumur chateau

 

Les treuils, eux, ne risquent pas grand-chose. Leur masse collée au pont s’écroulera avec le pont, pas avant. Les bases des mâts de charge et des manches à air semblent solidement rivées sur place.

180710 saumur treuil

 

A la proue, l’attraction de l’épave sur bâbord du gaillard d’avant fait souvent négliger la visite de l’environnement proche de la mitrailleuse. Adossée à la cloison du gaillard, une ancre de forme classique se fond dans le décor encroûté. Est-ce son jas démonté qui est appuyé contre elle ?

180710 saumur ancre de secours 1

180710 saumur ancre de secours

 

Une visite du local sous le gaillard d’avant permet de mesurer l’état de fragilité de la structure. Un fouillis de câbles et matériaux divers rend la progression délicate. La lumière passe à travers les multiples ouvertures dans le plafond aussi bien que dans les parois.

180710 saumur gaillard avant

180710 saumur gaillard avant 1

 

Cette fragilité rappelle celle du Saint Lucien. L’état du Saumur est trompeur, lui aussi. Je crains que dans un avenir très proche cette épave ne perde d’abord tout relief de son château et que la coque subsiste telle une très longue barge. Le gaillard d’avant est fragilisé. Combien de temps l’emblème de cette épave subsistera t-il sur sa tourelle dressée ?

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 00:45

 

 

Il était une fois un lieu préservé, délimité par des lignes virtuelles tendues entre des balises jaunes. Ce coin de côte devait devenir un sanctuaire où les espèces seraient protégées. Ce sanctuaire, c’est :

osteichtic-park.jpg

A l’intérieur, les visiteurs peuvent observer quantité d’animaux en liberté, dans leur environnement.

Il y a notamment :

- ceux qui vivent en bancs et qui broutent : les saupes (voir Les saupes. )

090810 reserve saupes

- ceux qui vivent en banc et chassent de minuscules proies à la surface des roches : les sars

090810 reserve sars

- ceux qui préfèrent la vie en petit comité : les sars tambour

090810 reserve sars tambour

- ceux qui chassent de petits poissons : les corbs

090810 reserve corbs

- des prédateurs à la mâchoire solide permettant de broyer les coquilles : les dorades royales

090810 reserve dorade

- Et enfin, le maître des lieux, le prédateur à grande gueule que tout visiteur excité espère apercevoir : Epinephelus marginatus, le mérou brun (voir Le mérou )

090810 reserve merou

090810 reserve merou 1

090810 reserve merou 2

Nombreux sont les visiteurs qui se pressent pour observer tous ces habitants. Mais ce n’est pas un zoo, les lois de la nature sont à l’œuvre. Qui peut dire quel impact ont ces hordes de plongeurs sur les comportements ? Parfois, en voyant les attitudes de certains palmipèdes en néoprène, je me dis qu’il faudrait qu’Epinephelus marginatus soit plus gros, avec de plus grandes dents et une faim de T. rex

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22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 08:33

Il y a déjà 2 ans, une jeune personne envoyait une lettre illustrée pour donner sa vision très personnelle de ses collègues d’un été (voir Antarès Fashion 2008 ). Depuis, les choses ont un peu évolué alors voici une mise à jour :

 

 

 

The A(ntares) Team

Fabrice (Futé)

A team fabrice

Toujours une petite idée pour améliorer la pratique au quotidien. Soucieux de son apparence, il utilise des moyens techniques performants (aérosol…) pour ne pas laisser son entourage indifférent…

 

Ramoucho (Looping)

A team romain

Créature mi-homme mi- ??? (on ne sait toujours pas). Fétichiste, il ne se sent bien que dans ses tenues en néoprène qu’il identifie à l’odeur. Polyglotte, il maîtrise le langage de djeuns, la langue de djeuns et un peu le très spécifique langage des signes hollandais qu’il est toujours content d’utiliser avec les jeunes Néerlandaises…

 

Pierrot (Capitaine Stubing)

A team pierrot

En avait marre de l’autre série sur le grand paquebot, alors a changé l’uniforme blanc contre une combinaison noire. Vieux poulpe local, du haut de sa moustache, plus de 30 ans d’immersions catalanes nous contemplent…

 

Thomas (Inflator)

A team thomas

L’homme fort de l’équipe. Pratique la musculation 10 heures par jour. Insensible au bruit depuis l’explosion d’une série de ballons de baudruche le jour de son 18è anniversaire dans une boîte de nuit locale bien connue.

 

Alizée (Alizeche)

A team ali

Une touche de féminité artistique. Est capable de vendre en anglais un kit PMT à un touriste français. Ecoute de la musique qui n’en mérite pas toujours le nom. Déjantée grave, mais ne mord pas (aucun cas porté à notre connaissance).

 

Sonia (Spy Girl)

A team sonia

Aime s’occuper de la carte bleue de Ramoucho pendant qu’il bosse. Connaissant plus d’un tour stratégique pour tromper l’ennemi, a toujours un œil qui traîne pour analyser les évolutions de situation en terrain hostile (Ramoucho et les hollandaises, Ramoucho et les débutantes, Ramoucho et les touristes blondes à forte poitrine ou non…).

 

Sylvain (Hannibal)

A team sylvain

Le boss. Souvent à la recherche de son maillot de bain qui mène une vie très indépendante. A la lourde mission de gérer à coups de plans B (voire C, D, E…) l’équipe (qui a donc la lourde mission de gérer les plans B et autres du boss). Son expression fétiche : « J'adore qu'un plan se déroule sans accroc ! »

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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 08:01

 

Avis aux amoureux de vieilles tôles encroûtées et rongées par le sel marin, aux habitués des ferrailles plus ou moins profondes, aux amateurs d’histoires de naufrages ou aux simples curieux, plongeurs ou non, pour qui le mot « épave » évoque mystère, aventure et rêverie :

 

banniere

 

Patrice Strazzera (link), plongeur photographe que j’ai déjà évoqué sur ce blog (voir Pour ceux qui aiment les épaves ), auteur de plusieurs livres regroupant ses photos d’épaves, viendra présenter un diaporama sur ses explorations subaquatiques le samedi 18 septembre de 16h à 18h sur le port d’Argelès.

Une séance de dédicaces suivra dans une ambiance nécessairement joviale…


bloc albums

 

Renseignements :

sylvain@antares-sub.com

+33 6 78 48 76 30

http://fr-fr.facebook.com/pages/Argeles-sur-Mer-France/Antares-Sub/251379936875

link

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 01:28

Carte Postale 2010 fin

CP 2010 fin

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